• _METAHISTOIRE_

  • Hemingway inventa des mots composition absurde pour un couple de femmes homosexuelles. Dystopie de cauchemar, comprendre les désirs de femmes pour d’autres femmes ? Ainsi de grands noms imposent leur pensée, leur mine de mensonge à cœur ouvert (charbon de la Découverte en Cévennes). Je coupe court à ma raison. Je n’ai pas lu cette merveille surannée d’Hemingway. Mec lit rapidement - introverti. Il me regarde souriant. Il bande. «Pour qui sonne le glas» n’est pas une histoire triste. Mon cul me brûle, je le colle sur sa bouche soulagement furieux. Responsable, lèche avec passion_je bande. Me baise encore_je jouis, sous les coups de queue douleurs et plaisirs se mélangent harmonieusement dans mon petit cerveau malade et je m’endors satisfait.

     

    Si vous prenez votre pied à recevoir des fessées. Je vous conseille. N’abusez pas. Je refuse donc qu’il frappe à nouveau en le menaçant de partir crécher ailleurs sans âne et sans bœuf.

     

     N’importe quelle fille rencontrée au cours de gym me prendrait dans son lit si je demandais. Donc il calme sa folie.

     

     

    Le meilleur du meilleur, ne pas avoir envie d’être battu. Pour cela je fais deux heures de gym au cours de la même journée (à midi et le soir). Ainsi, je ne supporte pas la moindre claque. Il reste toujours beaucoup plus fort que moi, mais quand il m’avance son air gentiment narquois, je me rebiffe, il rit et joue une douceur sexuelle que j’adore. Il me lèche le cul et je lui rends ses coups de langue. Il s’excite et me baise (avec une capote) pour un maximum de douceur. Il jouit sur mon cul et lèche son sperme dans le fouillis de mes poils (lavés en pensant très fort à lui).

     

    Regimber-se rebiffer, alors qu’il me pénètre voluptueusement. Il prend tout son temps au fond de mes entrailles, allant, repartant et revenant toujours, alors que je rêve terminus son plaisir éclate dans tous les sens. Je n’ai pas le temps de penser au mien, il me masturbe avec les deux mains, il récupère mon sperme dans leur creux et le lèche devant mon nez ou sur mes joues barbouillées et collantes.

     

    Il trempe sa queue dans mon cul encore plus longtemps et plus profondément jusqu’à me faire jouir deux fois, me promet d’être moi, de se fondre en moi et me faire jouir chaque minute. Je reconnais adorer. Pour aimer mieux que tout, je lui fais placer le lit à distance de la fenêtre et je vois les toits de la ville fondre sous le soleil couchant. Il hait le lit ainsi positionné, au beau milieu de la pièce, le lit n’est pas un trône de roi. Mais il est conciliant, je déteste m’encombrer de détails la ville est belle alors je dois la voir.

     

    Le lendemain, j’exige que le lit stationne devant la fenêtre, posté à 2 m, pas 3, pas 1, 2 mètres. Le volet roulant sera fermé le jour et ouvert la nuit. J’adore voir le ciel, la lune et les lumières des autres. Je m’allonge à plat ventre sur le lit. Seul, je goûte ces merveilleux instants. Il s’allonge à côté de moi, me sourit et me caresse très légèrement, comme le ferait une femme qui dispose de toute sa vie pour aimer son homme. Il a compris, il est laid, mais comprendre, c’est tout le désir caché, c’est le plus formidable des bonheurs. Devient beau.

     

    Plus beau des instants où le désir attend. Je vieillis vite. Il me caresse entre les fesses avec du gel odorant à la fraise. Il enfile un doigt gélatineux au fond de mon rectum. Je me retourne brusquement sur ma serviette éponge. Il s’arque boute sur les avants bras et les jambes, il m’embrasse en suivant ma bouche que je bascule de droite à gauche et inversement. Il lève mes jambes et me lubrifie à nouveau, il m’encule avec un préservatif. Il éjacule sur mon ventre et ma poitrine. Ce n’est pas fini.

     

    Il colle son anus sur ma bouche et lèche son sperme sur moi, il m’embrasse avec comme il m’a déjà embrassé. Il me fait jouir ensuite dans le creux de ses fesses qu’il m’oblige à lécher encore. Il me saisit dans ses bras, ma tête en bas, il me fait glisser au pied du lit en hissant mes cuisses sur ses épaules, il arrondi le dos avec la souplesse des fous, il écarte ses fesses et colle son trou du cul sur ma bouche. Je le lèche, je l’aspire, il me libère et recolle ses fesses dures sur ma tête, quand se stoppe le contact de ma bouche, pour reprendre mon souffle.

     

    C’est fini, je l’embrasse sans sortir la langue et nous gardons nos bouches grandes ouvertes l’une sur l’autre, je caresse les poils sous ses bras. Ils sont raides et courts. Nous dormons. Il ferme tous les volets roulants pendant la nuit, pendant que je dors. Toutes les fenêtres sont équipées de volets roulants électriques intérieurs ou extérieurs.

     

    Nous dormons dix bonnes heures. Je ne travaille qu’à neuf heures, le lendemain. Je me douche en vitesse et je cours à mon bureau de la mairie. Ouf, je ne suis pas en retard, le chef est là. J’ai l’impression à son air moqueur, qu’il sait. J’ai déjà beaucoup réfléchi, j’ai eu une liaison minable avec une fille brune d’une autre ville, ça ira. Je suis inconsolable de mon dernier chagrin d’amour. C’est tous des ânes. Leur vie sexuelle me fait hurler de rire.

     

    Baisent une fois tous les cinq ans, le mec dessus-la femme dessous et après avoir éjaculé, le mec fume une clope. C’est ainsi qu’ils réussissent à se sevrer du tabac. Je leur conseillerais bien de se faire enculer pour toucher au bonheur, je n’ose pas. Ces cons poseraient 1000 questions. Je dois arrêter de rêver, pour m’intéresser un peu au monde extérieur.

     

    Je cours à la gym de midi transpirer une heure et demie. Je suis seul à prendre une douche. Mec me rejoint, ferme la porte à clef. Nous installons deux bancs au milieu du vestiaire et nous léchons nos glands mutuellement, allongés sur le côté. Un quart d’heure, c’est le temps de jouir et de partir du bon pied au travail.

     

    Nous sommes vendredi soir, je fais les courses au Scheckler. J’achète aussi des préservatifs avec un air ingénu, je change de pharmacie à chaque fois et j’aurai bientôt fait un tour complet du centre ville. Il achète le lubrifiant.

    Je refuse de me faire enculer. Différent des pédés qui font le tapin dans les rues de ma ville. Je veux qu’il sache. Me bouger le cul et le faire désirer. Comprend certainement pas, mais il prend un livre et nous dormons ensemble. Il m’embrasse le matin suivant, je l’embrasse aussi et le repousse gentiment. J'hériterai d'un bouquet de fleurs.

     

    L’été est passé à toute allure. Il pleut cette année le 15 août. Je préfère la fraîcheur de l’automne. J’aime donc cette fin de faux été. Nous passons 3 jours sans baiser, commence à me regarder face grimaçante méchamment, calmement je ne suis pas une pute. Comprend. Je me couche et dès qu’il est allongé à côté de moi je le touche. Il est froid (comme on peut être froid en été). Il soupire éclate en insultes. Je l’empoigne. Tombons du lit. Sa main amortit le choc de ma tête. Je n’ai pas mal. Il me baise avec un préservatif et me fait avaler son sperme en se masturbant dans ma bouche. Je claque des dents, c’est plus fort que moi. Mais je me réveille dans ses bras, calme et reposé. Un jour nouveau, humide de la veille et je cours en retard à mon bureau, fatigué d’être heureux. Ils sont là. Mais qui donc ?

     

    Les collègues sont à leur café du matin. Je crois; ils me regardent de travers non, ils sont frustrés. Je suis heureux de les emmerder ils arborent leur sourire niais. Me disent; mes yeux sont encore en vacances et je n’ai pris aucunes vacances durant ce torride été. Ils ne pensent qu’à eux et je recommence, ne penser qu’à lui. J’ai obtenu temporairement de travailler en continu de 8 heures à 16 heures. Les 35 heures sont déjà du passé, mais la politique ne me passionnait plus. Ainsi je galope à mon cours de gym de 2 heures et demi, jusqu’à 19 heures, douche comprise. Mec fait les courses. Je suis mort de fatigue, comme lessivé.

     

    Je bois des grandes quantités d’eau. Sans boire le moindre de mes mots me tire vigoureusement encore habillé sous la douche et me douche en me faisant avaler l’eau de la douche. Je me débats. Il me calme en suspendant mes jambes à la barre d’acier et en se postant derrière moi pour me bloquer. Il procède en saisissant la toile de mon pantalon. Je comprends l’utilité de cette barre, encapuchonnée de caoutchouc doux et visqueux et fixée à cinquante centimètres du mur. Je gémis de douleur, ses doigts arrachent ma peau. Mais en un clin d’œil, mon pantalon et mon slip sont relevés sur mes cuisses suspendues. Il m’administre cinq coups de trique avant de m’enculer dans cette position inconfortable.

     

    Ma baston se prolonge le tissu de ma chemise tordu dans sa main. Je lui demande pourquoi. Pas de réponse et toujours ses questions. Ai-je envie, de temps en temps ? De quoi ? Du double ? De ces rasades courtes ? De la trique ? Du fouet ? Du martinet ? Ok. Il me pénètre en allongeant le plaisir. Ensuite sans jouir dans mon cul, il m’aide à me mettre à genoux devant lui, il se masturbe et envoie son jet de sperme au fond de ma bouche ouverte. Il maintient sa queue à 10 centimètre de mon visage. Il n’utilise pas de préservatif. Je demande la date de ma prochaine fessée sourire sans réponse. Nous douchons mutuellement la chaleur, en mangeant des bananes, des fromages de chèvre et du pain. Nous jetons nos muscles propres, près à resservir, dans le lit. J’avais oublié - j’étais mort de fatigue.

     

    Le lendemain soir me montre à nouveau cette trique achetée dans un sexe shop.

     

    Ce soir je veux bouffer au restaurant au bord de l’étang de Sète - bâfrer ma gueule enfarinée d’huîtres et de palourdes. Prendre la moto et une chambre d’hôtel à deux lits.

     

    Dors comme une masse dans la chambre, aux fenêtres ouvertes sur l’étang, la grille moustiquaire est efficace et les atroces diptères se désespèrent agonisant sans leur repas de sang.

     

    La peinture bleue délavée et la fraîcheur de la brise délicieuse me bercent, j’ai froid. Mec ronfle il a bu beaucoup de vin blanc (ce Picpoul de Pinet vif et sec qui te transporte au bout de la terre). Je pousse mon lit contre le sien ne se réveille pas. Je m’écrase sur lui, tête à queue en caressant mon sexe sur son visage. Je m’allonge alors à côté de lui, contre lui et son ventre, devient mon oreiller, ses bourses et son pénis, peluches douces à caresser, à malaxer.

     

    Je sais qu’il sourit puisque je sens ces doigts, dans la raie de mon cul. Bien au chaud, bien au calme me rendors. Nous rentrons tôt pour travailler comme des dingues. Mec bosse déjà son job, conduisant, pense aussi qu’il aimerait conduire ainsi, pendant des milliers d’années, sur cette terre de merde.

     

    Ludo merveilleusement chaud, se caresse au bas de son dos, pénis contre fesses explosif. Bander. Mec soulève un peu son cul. Il est tard, il crève d’envie de s’arrêter pour baiser Ludo sur le bord de la route face à cette planète de merde. L’autoroute enfin, une aire déserte enfin, Mec fonce derrière les broussailles en tirant Ludo. Lui baisse le pantalon. Il va crever de rage. Ludo est parfait, il avait pris un préservatif et du gel intime. Il est à quatre pattes sous le Mec et, les mains dans dos, emmaillote l’énorme gland. Il n’a pas le temps de se lubrifier l’anus. Ca ne rentre pas, vaut mieux pas. Mec tremble des cheveux jusqu’au bout des orteils, gémit comme un bébé. Il lubrifie, les doigts hésitants, maladroits, sa queue, l’orifice. Ludo écarte ses fesses, le sphincter accepte l’hommage. 5 minutes de va et vient, où les souffrances des deux hommes se mélangent sans paroles. Je ressens cette souffrance du partage, exquise. Tu sens ton cœur battre, tu vas cracher ton cœur. Non, tu renifles ton sang avec tes larmes. Mec se retire brusquement. Ludo arrache le préservatif et se couche sous lui, lui soulève les cuisses, avale le gland. Le suce en branlant la queue des 2 mains. Mec pénètre la cavité buccale de Ludo qui dévie le risque d’étouffement. Jouit dans sa bouche.

     

    Petit déjeuner au café pour Mec et moi (Ludo), j’adore et je m’éclate à lire ce journal (pas le mien, celui du bar), recomposant la vérité de l’information dans ma tête. De plus, pour m’aider à ce labeur intellectuel que je m’impose, je transporte toujours avec moi, le Monde Diplomatique. Mec me souffle un merci à l’oreille et j’éclate de rire. Attends, entends, il te baise comme un malade, il te remet sur la moto, la bouche encore pleine de son jus, et une heure après, tu sens ses lèvres qui t’aiment dans l’oreille.

     

    Aujourd’hui, je suis heureux. Je flotte devant mon bureau, devant mes papiers. J’écris comme un ordinateur écrit, machine humaine de chair sexuelle. Mon cerveau ne pense qu’au prochain mec, exultant, les yeux humides de désir. Film en boucle, il me baise, m’encule. Je ne pose plus la question, je suis un malade, esclave de mon désir. Démiurge du sexe bientôt sur catafalque à la Pasolini.

     

    Je turbine au service de l’état civil de 8 heures à 12 heures, à l’accueil de 12 heures à 16 heures. Une bonne nouvelle cheftaine intelligente raisonnable a tout compris de mon réveil intellectuel qui s’opère vers midi. Elle me met face au public à l’heure où les cons partent bouffer.

     

    Time and straw make medlar ripe:

     

    Le temps et la paille rendent la nèfle mûre arborent mon tee-shirt en gueule en bois. Le ciel du temps humide et chaud rince la place de l’Hôtel de Ville. Regarde par la fenêtre ouverte le flic municipal barbu. Taureau de faction cerbère à l’entrée. Semble crever sous l’ennui. Se dirige vers les toilettes - je me décide aussi. Dans les chiottes du personnel - personne. 3 gouttes- m’éjectent. Sorti de je ne sais où; ce flic joueur de rugby de l’équipe locale m’y repousse sans ménagement, une fois l’horrible porte passée en m’empoignant les couilles. Quand je reprends mes esprits, deux claques sur mes fesses nues et mis à genoux devant lui. Sa queue en érection menace, me passe une espèce de muselière qui m’empêche de fermer la gueule et se masturbe dans ma bouche. Après avoir joui me promet de m’enculer à 13 heures le lendemain pour ma pause dans les toilettes du dernier étage, celles des syndicats.

     

    A l’heure mais refuse la fessée le bruit tu peux comprendre. Me fait déshabiller entièrement me baise me repliant les cuisses. Je me suis lubrifié pénètre en utilisant un préservatif mon trou du cul enlève la capote avant de jouir dans ma bouche. Il me fait mettre à genou et recommence le cinéma de la veille. Mais je réplique: «n’y aura pas de prochaine fois».

      

    «Alors je viendrai te chercher et je te baiserai devant tout le monde».

     

    Ainsi je pourrais découvrir –ébahi- l’efficience de la police municipale. Il m’a enfin lâché les baskets tranquille - prévu - prévenu. Croisé un soir rue des Zigomards. La chance avec moi. Aucune âme parasite ne hantait la rue sombre et sale; m’échappe lessivé du cours de gym.

     

    Toi le mec normal change de trottoir moi - le tire dans le passage 85 kg Musclor se laissent conduire gueulant par 65 kg Cœur_Serré_en Peine. Il rit. Très vite son rire étouffe mes lèvres, il ne pue pas la transpiration comme la dernière fois bande déjà – égrillard - se caresse contre moi – en rigolant.

     

    Harnachement cynique de sa muselière (pour garder la bouche ouverte, à l'inverse de celles des cleps) sur la tête (il avait donc prévu de me croiser), mon refus catégorique en baissant ses pantalons, me hisse tête en bas à la hauteur de son sexe_contre sa queue.

     

    Ma bouche cherche le bord du slip Kangourou le mord le descend, déjà en mauvais état (encore prévu ?) se déchire, il me laisse glisser contre lui. Arrache son slip d’une main. Il enfourne son gland dans ma bouche. Cinq longues minutes de va-et-vient et il éjacule sur mon visage, plus exactement dans les narines, sur la moustache et dans la bouche.

     

    Sperme puissant de saveurs âcres, chaud et collant, très vite m’installe allongé sur le sol et caresse sa croupe sur ma bouche. Je lèche les gouttes de sueur dans les poils doux de sa raie du cul.

    Il se frotte à moi en m’expliquant qu’il enduit son trou du cul de son sperme et me demande de le lécher. Je m’applique écœuré au début et ensuite érection.

     

    Me masturbe et me fait jouir dans sa bouche, accroupi sur moi. Pas fini. Il me fait sucer son anus en l’ouvrant avec ses doigts, où il a gardé de mon sperme. Je dois plonger la langue au fond, cette profondeur m’étouffe me libère s’impose. Rhabillage instantané. Et pourtant je n’ai pas plus envie de vivre avec Martin le rugbyman (pendant cet éternel moment) que je n’ai encore de désir de Mec ; curieux égo.

     

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    Rugbyman m’a promis son éternelle fessée - il a été comblé cette fois-ci, mais la prochaine rencontre sera rythmée par des claques d’entretien. Me jette l’adresse de son lit et les jours et heures auxquels je suis convoqué pour être baisé. Qui peut rêver mieux ?

    Un mec pour la folie un pour l’entretien les 2 dans le même, je passe dans les rues sans voir les foules, je me réfugie dans le fond sexuel de cette ville que j’aime tant.

     

    Quand y aura-t-il des femmes ? Voir et sentir une femme et l’aimer jusqu’à l’extrême, rêve ou cauchemar, quand je rentre chez Mec, je me prends la tête à changer, à évoluer encore. Avec sa violence contenue et bridée, proposée ou imposée, en alternance de désir, de plaisir et de petites doses de souffrance, le rugbyman me force à désirer, la grâce, les câlins éternels et la souplesse d’un corps de femme, dont j’espérais déjà l’âme.

    Rugbyman-mec je vais aller voir, au fond de son antre. Son cul présenté trop souvent à mes lèvres, ce cul trop poilu, son odeur forte de transpiration sont, largement compensés par sa violence sa prébende à ma folie.

     

    Le Mec aux origines du Sexe décampa bosser en Angleterre. Il sait tout faire manuel génial inventif franchement doué. Un architecte (que j’ai eu le plaisir de rencontrer sous les arcanes municipaux) porteur d’un projet (un vrai ça existe), l’a choisi après mon étalage de ses capacités: réalisations à l’appui, pour deux mois pleins de travail. Mec me confie son appartement et part en moto.

     

    Le soir attrape ma brosse à dent et je dors avec le rugbyman. J’ai coordonné le départ de Mec avec les insistances du rugbyman son désir affirmé de me baiser tous les jours. Il habite un entresol, dans un vieil immeuble, aux magnifiques verrières et aux immenses plafonds, composé de cabinets médicaux, d’avocats, et d’autres absents chaque soir et enfin et surtout : de son appartement. Dès 19 heures, le hall est vide, la société propriétaire a volontairement choisi de le loger afin d’assurer une présence humaine, et quelle présence ! Dans cet immeuble désert magnifique le soir, le premier soir, la porte ouverte sur le silence des lumières blafardes, me jette dans le couloir. Ainsi je procédais enfant. Ainsi je cours au bout de mon histoire dans ce hall. Je reviens sur mes pas, sa porte est verte s’il est normal.

     

     Ma brosse à dent se tord dans ma poche. Assis une bouteille de bière et le journal torse nu les poils bruns de son ventre et de son torse aimantent mon regard. Il oublie de sourire gueulant l’ordre de me foutre à poil et plus vite que ça.

     Suis venu pour m’exécuter, n’aime pas faire machine arrière. Je n’ai pas non plus envie de m’ennuyer un mois durant. Alors je me déshabille et remet mon pantalon sans mon slip.

     Ca marche se tord de rire m’attrape et ne m’administre seulement 5 claques sur les fesses nues, 4 fois moins que prévu puisque ça fait trois semaines que je l’évite.

     Je baisse mon froc avant qu’il me le déchire. Se calme me met au lit. Inutile de chercher ce pieu ou même de poser les pieds par terre, m’y porte en passant son bras entre mes jambes. M’encule trois heures durant, ne prend pas la peine de sortir sa queue et s’enfile une bière en deux baises, me porte en me ceinturant jusqu’au frigidaire pour les prendre. Je pars le lendemain au boulot avec une nouvelle fessée parce que je lui ai refusé une pipe. Je me suis foutu dans un bordel de merde.

     Garder le contact de ma bouche avec son gland toute la nuit, pénis propre et turgescent. Dormi sous lui, sa queue reposant sur mon visage, avec deux traversins sous ses cuisses et sous son ventre, afin que je ne meure pas étouffé. Ce mec ne parle pas, ne crie pas. M’embrasse pour remercier.

     Lui glisser qu’il doit limiter les fessées pour que je puisse m’asseoir. Je rentre à 16 h 30 heures comme il me l’a demandé. Il me baise avec une capote, il éclabousse son sperme sur mon visage qu’il lèche ensuite et je cours comme un dingue à la gym. Retour à 20 heures, il a fait les courses, il a préparé le repas que je mange. Il m’amène au lit pour me baiser comme la veille. Ce n’est pas lui qui est fou c’est moi puisque ce soir; il ne boit pas une goutte d’alcool; il a remplacé l’alcool par mon cul.

     

     Dors impeccablement bien, son pénis une poupée vivante. Le matin, mes collègues s’aventurent à des questions: la gueule en blanc. L’impression sauvage que je trimbale son odeur, sauvage culturée de Jean-Michel Basquiat rappeur hip hop et graffiteur de Soho de Lower East Side de Greenwich Village devenu à titre posthume auprès des cons de français un si honorable artistes en 2010 (Journaldelalibérationsexuelle). Alors que Martin Zourss roule chaque soir à son entraînement de rugby et je m’endors seul après avoir bouffé le repas qu’il m’a préparé. Il me baise au réveil, il ne veut pas que je perde le goût de sa queue; toute ma nuit passée avec le roi horrible des Zoulous; New York éternelle et puante.

     Rugbyman se calme cet automne là les orages ne violent pas la ville. Ce mec aime cuisiner, tout au contraire de moi. Pèse 85 kg pour 1,73 m je préfère que mes 65 kg tout mouillés ne lui soient pas violemment confrontés. Il rentre avant moi et un jour sur 2 part avant mon arrivée. J’aime bien quand il est là. A la différence de Mec, il parle maintenant et il y a dans sa voix: la chaleur. Je lui dis que ça durera un mois et il rit.

     

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     C’est comme le livre d’Hemingway avec le tragique aspect en moins l’objectif de durée de vie emplie de bonheur est fixé d’avance. Je l’ai fixé d’avance.

     Caresse sous la douche les soirs où nos corps cohabitent. Il me montre alors intensément comment il procède pour nettoyer son anus. Demain, ce sera à moi de le nettoyer si c’est imparfait tant pis pour le goût et en prime: la trique. Quant à lui échange de sexualité demande de nettoyer mon trou du cul.

     Fouille avec du gel intime, nettoyant le fond de mon intimité. Se met facilement à quatre pattes et je monte sur son dos, face à ses fesses. Mes claques chatouillent l’ours sans le perturber, je nettoie ces anus et rectum, décidés à consoler mon chagrin de me sentir si faible, feuille de papier confrontée à cette masse humaine planquée dans la douche.

     Récupéré deux tapis de caoutchouc pour qu’il puisse me faire l’amour allongé dans la cuvette sous le pommeau pissant l’eau chaude avec nos jambes sortant dans la fraîcheur de la salle de bain. Il me baise en m’embrassant en soulevant et écartant mes cuisses. Il jouit comme je lui demande sur mon visage ou dans mon ventre. Il n’utilise plus de préservatif et inutile de lui demander. Un gant, il nettoie sa queue et hop, douche de crème. Il change et asperge le bas de mon ventre et mon sexe. Ainsi il peut lécher le tout en sortant la langue comme une vache pendant qu’il tient mes jambes fermement sur ses épaules. Il coince ma tête confortablement sur le tapis. Il s'accroupit sur mon visage, frotte patiemment sa raie du cul dessus. Je dois lécher les couilles quand elles effleurent mon nez. Je dis, je dois, il pimente le jeu sexuel par des ordres, gentils mais fermes, assortis d’une sanction (fessée), si je ne réagis pas.

     Léchage des poils des couilles, les poils du cul, l’anus. Me sens esclave et je souffle en protestant après des milliards de coups de langue. Il se relève alors, il me fait mettre à quatre pattes et frotte sa queue, dans ma raie du cul lubrifiée d’un gel épais, dégoulinant sur mes couilles. Il se masturbe ainsi longues minutes d’horreur mordillant mes oreilles en me promettant une Fessée Magistrale (sa spécialité marque déposée). Il m’encule, jouis au fond la douche, me fait lécher le sperme sans oublier de me pénétrer avec deux doigts dans le cul. Je demande quand il aura fini, je souffle alors de rage. Il recommencera le week-end prochain, il n’y a pas de match et nous irons camper. Ca promet. Il me baise 3 fois sous la douche et me demande si j’en ai bien profité. Je souris puisque j’ai aimé.

     

     Battu au ceinturon en revenant du week-end. Je ris en chialant – préférence de ses mains. J’aurai donc droit aux caresses cinglantes de ses mains sur ma croupe. Aucun problème et la chose essentielle sera de me faire plaisir. Je ris de nouveau couleur jeune jaune. 

     

    26 avril 2007 :

     

    Beau soir vendredi d’octobre sec lumineux frais, m’éclaterais à camper, courir en slip dans la nuit glacée. Et bien non amerrissons dans la maison de ses amis, vide et si sympathique. Leurs chiens attendent leur maître, la spécialité du mâle-chien est le barbotage des objets personnels en tous genre, chaussures, parapluie, ne laisse rien dehors. Nous prenons la voiture de Martin; nous jeter tout un week-end ensembles et seuls. Idée de cinglés.

     

     Il fait du feu dans la cheminée. Je me douche il me caresse; ce week-end sera ma tombe sexuelle.

     

     De plus en plus gentil commence par le haut en collant sa bouche sur la mienne. Je fouille tout au fond de lui, en haut, sa bouche et en bas, son rectum. J’enduis mes doigts de crème les essuie en lui branlant la queue. Il me baise après m’avoir coursé dans le foin.

     

     Avais envie de cette odeur les chevaux tapent du sabot dans leur box à côté. Rugbyman leur donne à manger, après avoir joui dans mes mains, après m’avoir demandé d’enduire de sperme son trou du cul, après m’avoir allongé dans le foin et s’être fait léché, après m’avoir fait jouir dans sa bouche.

     

    Me promène ensuite dans la nuit, en me baisant une fois lors d’une halte. Il décrète un remontant pour surmonter ma douleur d’avoir quitté ma ville préférée. Je ramasse des glands. Il me les enfile (avec beaucoup de crème), un par un, dans le cul en ricanant bêtement. Rentré à la maison, il m’assoit sur les toilettes et attend debout, nu, à califourchon sur mes jambes que je les chie. Il reste sans se boucher le nez, sans souffler ni gémir. Quand j’ai fini, il m’embrasse avec cette ferveur qu’il met pour me gonfler le cœur pour le faire exploser. Il me propose de m’essuyer, j’accepte, me pénètre avec ses doigts.

     

    Me baise ensuite encore, assis sur les toilettes, lui dessous, face au réservoir du chiotte, moi dessus accroupi, mes pieds sur ses cuisses. Je monte et je descends, sa queue longue et épaisse, frotte sans discontinuer les parois en feu de mon rectum. Il jouit en frottant son pénis contre mon ventre, douche spermatique.

     

    Cherche une femme qui accepterait ça.

     

    Présente-moi une pute du meilleur acabit.

     

    Prenons ensemble une nouvelle douche avant de nous coucher. Couilles contre couilles, le premier qui bande doit enculer l’autre. Il me baise encore avant de s’endormir et je déguste encore une rasade de sperme avant de dormir sur son épaule et sa poitrine sauvagement poilue. Ces poils humides me font cavaler dans la forêt vierge toute entière déserte d’humains, il fait chaud et il me pisse dessus pour me rafraîchir. Cette pisse pue la bière brune blonde. Je ne sais pas.

     

    Le lendemain, courons la campagne sur 2 vélos, les chevaux ne sortiront pas, ne nous connaissent pas assez. J’emporte le tube de crème, le gel et vingt euros. Il prend dix préservatifs et trois litres d’eau. Nous enfourchons les VTT, sac à dos et les imperméables, il y a quelques nuages accrochés sur la centrale post-atomique de Golfech.

    La route escalade sans raison les collines qui se parent de folie en montagnes berbères. Le soleil m’écrase ses rayons sur les épaules et le pire se présente soudain avec une affreuse côte comme le Moissagais sait en servir à la pelle. Je descends de vélo et je m’assois. Il se jette sur moi et me fait rouler dans le fossé.

     

     Une voiture passe et je disparais sous lui. Ensuite je cours planquer les vélos sous les coups de baguettes de saule, pleuvant sur mes fesses déjà nues. Nous léchons simultanément nos sexes durs et mous au choix du prince, pour repartir sur la route avec le grand braquet.

     

     J’aime la vie et je peux être heureux et je ne suis pas seul et je peux faire des pipes à qui je veux et je peux échanger ce plaisir qui me fait espérer vivre encore plus intensément. Je jouis alors dans sa bouche, sur sa langue qu’il positionne sous mon gland.

     

    Aller retour de son énorme langue de bovin brun. Jamais imaginé qu’une brute pouvait faire jouir ainsi armé du goût et de cette patience que je pourrais lui disputer. La bave s’écoule, ininterrompue de sa barbe, il sourit et je rigole bêtement. Deuxième jet de sperme dans sa barbe qu’il me fait lécher en pressant ma tête dessus. Je tremble de froid, il me réchauffe corps nu contre le mien dont il a arraché les oripeaux.

     

    Je pourrais baver et souffler qu’il ne me réchauffe pas pour rien. Il me relève les jambes et me baise, en ouvrant avec les dents le tube de crème lubrifiante. Jolie mise en scène, d’autant qu’il met une capote pour pouvoir éjaculer dans ses mains, se barbouiller de sperme, encore une fois, les poils de son cul. Me les faire lécher, je les arrache avec les dents. Alors il reprend la baguette et me corrige sur les fesses, je dois m’excuser et réclamer-déclamer qu’il soit sévère. Mes fesses en feu, allons-nous dormir dans ce fossé ?

     

     Nous restons 2 heures bien cachés, me baise encore sans préservatif avant de repartir. Je suis lessivé par ces étreintes-véritables combats vérifiables. Dois connaître par coeur chaque millimètre carré de sa peau. Je sens son odeur forte et âcre sortir des pores de la mienne. Je pédale derrière lui. Il baisse son short de temps en temps-3 fois, pour me montrer son cul. La troisième fois, je vais devoir baisser le mien à mon tour, pour être encore enculé.

     

     J’ai beaucoup pédalé pour le semer, il y a de la combine dans sa manière de faire, mon trou du cul transpire le besoin de repos.

     

     La nuit tombe et il me reste 10 kilomètres pour rentrer. Je suis seul et je n’aime pas ça. Je mets un pantalon, un sweet et je rentre dans le seul café. Je bois mon jus calmement, sans arriver à fixer dignement mon regard sur les autres consommateurs.

    L’impression malsaine d’être épié Rugbyman dans le café sort des chiottes se cale devant moi furieux le silence passe à la glace.

     

    Je rassemble mes affaires et me tire à toute bringue-zinc; capable de me corriger nu devant tout le monde. Il me rattrape au bout de quelques kilomètres. Pourquoi m’avoir laissé filer ? Je comprends vite quand je reçois pour moi tout seul, sur mes fesses nues, mon corps nu, déshabillage à l’arraché, une magistrale correction limitée par la grâce de dieu, à 10 coups de ceinturon (ma mémoire hoquète), dont les traces resteront 2 semaines dans la compagnie délicieuse de celles des verges de saule.

     

    Me baise ensuite une bonne heure durant, dans l’herbe glacée et humide. J’ai envie de chialer comme une tapette désire la fuite.   

    Et pourtant c’est certain, je m’éclate avec lui. Nous roulons encore des kilomètres pour entrer dans un autre café. Parler gueuler rigoler de tout. Nous buvons des demis de bière. Lui en boit trois moi un, histoire d’ingurgiter en moyenne 2 bières chacun. Je descends de vélo, passé les dernières maisons. Il pue l’alcool et je l’embrasse. Il bande encore, je passe mes mains sous ses vêtements et c’est moi qui frissonne. Le plaisir de rentrer pour baiser confortablement au pieu. C’est le meilleur pour le plaisir d’exister.

     

    Rentré au chaud pleut à sceaux dehors. Met la télé et je l’éteins. «Tu préfères être enculé ou corrigé ?», des mots le désir sans les mains. Me douche et il me rejoint sous l’eau pour y gueuler à flot. Je le suce et j’avale son sperme âcre et gluant. Il me fait jouir dans ses mains et se lave les cheveux avec mon sperme. C’est pour renforcer sa crinière. Nous dormons cette nuit dans le canapé et je dors sur lui en matelas de chair chaude onctueuse.

     

     --- Image/photo pouvant être protégée par Copyright ou autre ---

     

    Dormir à l’abri alors qu’il pleut dehors, quel petit enfant n’aurait pas rêvé cela. Me sens si faible et si petit. Il ne ronfle pas, n’aime pas les ronfleurs mâles des vrais porcs. Me recale vite sur son épaule pour me rendormir. Je pourrais être le plus heureux pédé du monde si je n’avais eu ensuite l’idée incroyable de me travestir en hétérosexuel.

     

    Martin Zourss maniait la verge de saule avec dextérité.

     

    ««Sigomard fan de François Sagat jusqu'au jeudi 24 juin 2010, le croise dans Paris et il lui demande gentiment s'il peut le prendre en photo, Sagat l'a repoussé de la main brusquement. Sigo. était content de croiser par hasard (c'est faux mon gars) l'une de ses idoles et son geste l'a blessé. Désormais pour lui c'est un...»». 

     

    Le Mâle Martin 2 fois Sagat et je ne serais pas risqué de le prendre en photo en joueur idole de rugby avant qu'il me baise.

     

    Martin profita de la suite atroce des jours des vacances pour me faire encore bouffer de la verge durcie à la transpiration de ma main tremblante. Et retour en ville, acheta un martinet en latex. Une fois par semaine je recevais l’ordre sec programmé de me déshabiller. Tintin dit Martin Zourss déterminait la punition en étalant le bilan de ma semaine à mes oreilles ahuries. Je n’avais même pas le choix de l’instrument de la punition: verge de saule ou martinet ou enfin cravache tressée et durcie.

     

    Ce que je sais maintenant de lui, explique sa fausse folie. L'abus imaginaire mais immodéré de psychotropes l’a transbordé en psychopathe malade de psychopathie.

     

    Ensuite j’ai changé et je me suis marié. Je regrette ces jeux de mise en scène. Nu il m’attrapait à bras le corps et le cœur, placage sur le lit tête en bas, correction énergique, je devais compter, remercier, insister, l’encourager à frapper fort, sous peine qu’il rajoute arbitrairement à la punition, un nombre de coups de trique à sa convenance.

     

    Ensuite l’Ours Tintin s’est engrené avec la direction, le pédé, vous devez vous souvenir, de la boîte gay fermée pour raison d’insalubrité morale, il ne l’avait pas corrigé efficacement, déçu le gars. Transfert vite fait dans autre service et enfin mutation dans une autre ville conforme à son énergie. Je suis resté ici à faire le con.

     

    En général frappait 5 à 7 coups de verge d’un coté et autant avec le martinet de l’autre, j’avais le cul en feu et devais remercier à genoux et émettre à sa délicate attention :

     

    - la demande express d’une nouvelle correction dont il fixait alors la date. T’es pas un peu fou mec ? Non ses corrections étaient si sexuellement érotisées qu’elles en valaient vraiment le détour cuisant.

     

    Martin Zourss raconte. Jouait au poker avec 2 autres gars de son Service dans leur local, championnat intime. Le vrai sportif étant l’agent Martin. Alors qu’un 4 ème rappliqua en slip (un vermiceau). Un collègue prévient; t’étonne pas de te faire violer (tentant un cul dans un slip aussi mignon). Martin se leva d’1 bond; pour éviter la prison pour viol aux copains: il attrapa le gars. Lui arracha le slibard. L’allongea sur ses genoux, pris au piège de son exhibitionnisme extrêmement malsain, ouaih. Sentant en éruption sous son ventre une massue puante érigée prête à l’empaler. Il ne saura jamais s’il a regretté d’être enfilé. Zourss lui administra cette délicieuse fessée, fut entendue et tellement appréciée dans la ferme à côté, muni de ses pattes fermes, battoir des lavandières d’antan se prenant pour des Zorros femelles.

     

     Tout le monde y trouva son compte. Le quartier tout d’abord passé chaud devant du théâtre brûlant. Et qui ira gémir aux flics d’avoir reçu une raclée sur le cul ?

     

    Hors le fessé passant au rang d’acteur éroticoporno plus Proustien que nature (Sodome et Gomorrhe-Mr de Charlus le fouetta et le jeta nu dehors où il y a plus bruyant que la souffrance: le plaisir.

     

     Les 2 autres joueurs de poker ont maté un peu jaloux; ils firent de belles érections cachées dans leur slip. La tapette n’a pas dormi sur le dos d’une semaine, s’est sûrement rappelée toute sa vie de vermicelle du camarade Martin Zourss. Fessé bandait en se masturbant la mémoire. Pas sado maso, mais spectacle érotique marque agréable du temps, tout le monde doit pouvoir aimer les fessées.

     

     Histoire fébrilement vraie; les 2 autres témoins me l’ont raconté dans de la colle glissante, ils avaient jouis, mais sur ce point, je ne les ai pas crus puisque l’emploi d’oxymores est ma spécialité fatale - empreinte de banalité sans foi ni loi, beurk.

    Donc à plat ventre sur le lit, tête et bras au pied du plumard, je devais relever les fesses et vérifier dans les 2 miroirs installés par l’ours au brun pelage: l’ouverture extrême de la cible de sa verge, et rester ainsi sans bouger et sans trembler sous la brise de la trique qui me caressait la raie des fesses. Je le voyais dans les miroirs, se branler pendant une bonne demi-heure.

     Interdiction sous la menace d’une dizaine de coups de ceinturon. En effet cravache, martinet et verge étant destinés au seul entretien de la relation amoureuse. Le ceinturon j’évite ça fait trop mal et l’impact dure la vie entière, j’obéissais. Interdiction donc de baisser la garde, trou du cul ouvert pénétration de l’épée de Damoclès.

     

    Je rappelle ici bas que l’épée de Damoclès le matos de sondage des trous du cul perdus, qui peuvent être, soit des connards sans fond, soit des orifices intellectuels du don absolu de soi. Elle détermine la vérité de l’amour devançant la mayonnaise (ou la crème Chantilly en dessert), bien fouettée pour être meilleure. Il n’y a donc rien je répète de sado-maso.

     

    Passé ce délai, il me baisait calmos et m’administrait sa ration hebdomadaire de coup de trique que je réclamais en gueulant, j’avais le choix entre ça et 20 caresses brûlantes du ceinturon, pour douleurs sans dyspepsie toujours pas maso-sado.

     

    Ensuite Zourss parti au moins au début je ne l’ai pas regretté. Il n’était pas Swann. L’amour de Proust: Swann aimait Odette. Et Swann était cygne; Zeus dans Léda et le cygne. Hors Martin s’imaginait Zeus. Mais Martin était Zourss tantôt peluche tantôt barjot. Et à la longue ce n’est pas rigolo.

     

    S’il n’y a pas de fin, c’est la vie, un commencement sans fin. La mort me direz-vous ? Il aura après moi, tout ce que je vous ai écrit, toutes ces salades parfumées;  c’est ça l’éternité ou la merde de l’été.

     

    Prétention ? Non, je remettrai cette histoire sur le tapis, sans transgresser la vérité en l’améliorant et ce n’est pas de trop. Le Style plus acéré, je fais et ferai ce boulot parce que j’aime les gens et la planète entière, parce que je vous aime.

     

    Jean-Michel Basquiat fut un grand génie.

     

    Warhol écrit que Jean-Michel avait une grosse bite. Il la balade encore dans les nuages de l’Eternité enculant les anges gardiens de Sodome.

     

    Photographs by Paige Powell @ SUZANNE GEISS COMPANY- 76 Grand Street -NYC. RSVP required- contact gallery @ 212.625.8130Photographs by Paige Powell @ SUZANNE GEISS COMPANY- 76 Grand Street -NYC. RSVP required- contact gallery @ 212.625.8130

     

     Basquiat admirait Léonard de Vinci au point de refaire la Joconde et d’y apposer son © copyright, interdiction de reproduction sous peine de viol éternel. Ainsi comme le rappelle l’élégant dandy Marcel Proust, parfait parfois écrivain, il ne peut y avoir engendrement. Sa Joconde billet de la réserve fédérale pisse et pleure le sang, normal elle est crevée Chienne de vie, accroche toi sinon ça va s’arrêter.

     

    Non, alors que Rezala serial killer inspire Enzo Cucchi sur le thème atroce de la mort à la Basquiat. Un train jaune dans la nuit et le corps nu d’une femme, mutilé; peints dans un ensemble infernal. La Vénus sortie de la mer s’est gourée de train.

     

     Des êtres humains vivants (les nazis disaient objets-morceaux), jetés, ramassés dans toute l’Europe furent enfermés dans des trains de marchandises envoyés direct à la mort. Certains ont traversé la Suisse avec ses vaches dans les prés Milka. Un continent entier transformé en enfer.

     

     Passe vite sur cet aspect de la mort, heureusement le train n’est déjà plus là. Reste Rezala grand explorateur de la drogue comme l’était Basquiat mais Sid Ahmed Rezala enfance violée perpétrant cette violence mêlée au sexe. 

     

    ARRÊT des jeux – fin le 13 janvier 2011. 


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